Je reste Hi-tech mais je mets des boules Quies par Denis Blémont Cerli
22 mai 2008
Et voilà.
Je mets des boules Quies.
C'était
exactement ce que je n’aurais jamais voulu qu’il m’arrive.
Figurez
vous que la ville où je demeure la plus grande partie de l’année est devenue
une termitière géante, ça s’agite dans tous les sens, grues, camions,
bétonnières, bulldozers. Jusqu’à présent mon quartier avait été relativement
épargné par le phénomène : à peine une trentaine de villas en plus, 8 à 9 résidences
de grand standing kauffman et Broad à minimum 5000 € le m2, un centre
commercial Carrefour plus 25 boutiques dont à peine la moitié de 2000 m2, un Mac
do avec mac drive, une caserne des pompiers … Bref que du raisonnable, de l'usuel,
de l’inévitable…
Il
y a des métiers plus rentables que les autres. Par exemple entrepreneur/termite
car rien n’est plus facile que de détruire une nature sans défense et cela même
après le Grenelle de l’environnement pipeau des deux Nicolas.
Quelques
biffetons bien placés et hop, on envoie les hommes/termites qui vous
démantibulent un endroit sans défense – comme la côte Corse - en trois coups de
maxillaires.
Vous
allez avoir une déconvenue : UN CASINO !
Remarquez,
comme pour l’immobilier (ça s’appelle le crédit) on reste dans le principe des
vases communiquant dans un seul sens, les pauvres viendront y jouer et y perdre
l’argent qu’ils n’ont pas afin d’enrichir les corrompus, les activistes du
dessous de table, les nababs à portefeuille douteux, bref les salopards de
notre époque.
Je
le dis tout haut : que la peste bubonique s’abatte sur les
entrepreneurs/termites et sur leur descendance pour mille générations !
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