Sur la politique du polar
01 mars 2008
A lire dans ConTEXTES, revue de sociologie de la littérature, le compte rendu de Sarah Sindaco de l'université de Liège, consacré à l'ouvrage de Véronique Rohrbach Politique du polar: Jean Bernard Pouy. Cette étude est parue à Lausanne, aux éditions Archipel dans la collection Essais. Etienne Borgers lui a également consacré une note de lecture dans les dossiers de l'excellente revue en ligne Europolar.
Ça rime aussi avec "nanar", qui peut, à l'occasion, être un diminutif approprié pour Bernard ou Jean-Bernard.
Rédigé par : Elisabeth | 05 mars 2008 à 14:07
Jean-Berrnard Pouy, qu’est-ce qu’il en dit ? :
" Parce que ça fait un paquet de temps et de textes que le roman noir a gagné. Le roman policier est à enfoncer dans les poubelles de l’Histoire, le thriller dans les chiottes du néo-freudisme et le roman à énigme dans le compost du sudoku. Et ça depuis Sophocle, Dostoeivski ou Gadda….Ces putains de polars accompagnent efficacement la mondialisation (pour le plus grand nombre) et l’Internationalisme trotskiste (pour les plus "radicaux"). Faire gaffe, quand même, à ce mot : polar, qui, s’il rime pauvrement avec soixante-huitard, rime aussi avec vicelard, ringard, connard, faiblard, etc… "
Propos " couillus " comme un " pol'hard " trouvés sur le site Noir Comme Polar à l’adresse ci-dessous :
http://www.noircommepolar.com/f/actu_archives.php
Rédigé par : Difrade | 05 mars 2008 à 10:52