Capture par Arlette Shleifer (1.7)
20 octobre 2007
La
vie traîne ses pieds ; les marques sur le chemin se glissent
dans un coin de l’ âme, fissurent ce qu’on croyait avoir déposé et
drapé dans un respect infini. Le soupir revient, virevolte et se pose
à son tour, sur la peau d’un cœur qui
frappe de plus en plus fort comme une main qui secoue la porte au petit
matin.
Grâce à la sensualité remémorée, le souvenir, , relevant d’un merveilleux mystère, devient immortel. Oui, on ne sait ni pourquoi, ni comment, mais le souvenir se transmet qu’on le veuille ou non, et, lorsqu’il affleure, l’avenir devient possible...
Rédigé par : Difrade | 20 octobre 2007 à 08:43