Operata et message personnel en video
27 septembre 2007
Interactivité, web 2.0, blog...C'est pas toujours facile de s'y retrouver pour mettre en ligne. En Corse, des auteurs de polars ont décidé de s'entraider. Ils mutualisent leurs expériences, y compris pour utiliser des vidéos.
Quelques explications utiles:
Aprés avoir réalisé la video, il faut l'héberger sur un serveur (par exemple comme dailymotion ou youtube ou kewego ou d'autres). Ensuite il y a deux maniére de l'utiliser: par son URL (son adresse) ou par son code qui contient son URL.
Le lien hypermedia de cette video est
http://www.dailymotion.com/video/x32odx_ainsyphonlavideo_fun
Son code en langage HTML est plus complexe
<div><object width="200" height="166"><param name="movie" value="http://www.dailymotion.com/swf/2JiYnrJsNiSGklFkx"></param><param name="allowfullscreen" value="true"></param><embed src="http://www.dailymotion.com/swf/2JiYnrJsNiSGklFkx" type="application/x-shockwave-flash" width="200" height="166" allowfullscreen="true"></embed></object><br /><b><a href="http://www.dailymotion.com/video/x32odx_ainsyphonlavideo_fun">Ainsyphon_lavideo</a></b><br /><i>envoyé par <a href="http://www.dailymotion.com/ugopa">ugopa</a></i></div>
Il suffit de recopier ce code dans un blog pour que la video s'affiche avec son lecteur. La seule condition a respecter c'est qu'il faut recopier ce code, non pas comme texte, mais en tant que code HTML.
Précision utile:
En modifiant les données width="200" height="166" dans le code, on peut adapter le format de l'affichage de la video à la taille que l'on souhaite. A suivre...
Ugo a voulu vous déboucher le siphon et vous briquer la lanterne. Malheureusement pour moi, le siphon doit être bouché par des spaghettis et ne laisse pas passer les codes ni les Url.
Le siphonnage (du grec siphωn, “petit tube”) relève de la transmission de fluides. Quand on essaie de se représenter cette opération, on pense à ces insectes munis d’une trompe à l’aide de laquelle ils percent la carapace d’une proie puis aspirent toute sa substance pour s’en repaître. Je n’ai pas percé la carapace.
J’ai essayé de siphonner mais j’ai lutté avec la puissance d’une mouche se débattant dans le siphon de l’ évier ugolien.
Il doit sans doute exister un anti-siphon pour un mec siphonné comme moi qui ne résiste pas à l’envie de chanter : « Ainsi siphon, fon, fon les petites marionnettes… »
Ugo a beau tiré les ficelles, son tuyau ne m’a servi à rien pour l’instant… Je n’ai même pas senti une remontée de mauvaises odeurs !…
Nez en moins, si d’aucuns s’y font,
je n’arrive pas à m’y faire…
L’informatique, Ugo, a parfois des mystères
dont on ne touche pas le fond.
Rédigé par : Jean-Paul | 27 septembre 2007 à 13:50